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I: Escape
08:13
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II: Remember
01:16
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III: Change
09:06
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I. London, UK
To forget one's purpose is the commonest form of stupidity.
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supported by 6 fans who also own “Vestiges of Self”
I can't say enough about how great this is! DSBM perfection! Dark, haunting, chilling, beautiful. An absolute masterpiece!
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Life has gone on long enough
by NONE
supported by 6 fans who also own “Vestiges of Self”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs...
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supported by 5 fans who also own “Vestiges of Self”
Il y a un désir qui traverse toute les œuvres de Sadness (et sûrement toute l'œuvre de Damián Antón Ojeda) qui est celui de capturer l'instant ; en un sens, c'est ce qu'on retrouve dans l'E.P. holding. A moins qu'il ne s'agisse d'un parcours émotionnel qui apprend à avaler ses émotions. La première piste est une explosion de douleur au point où même la guitare a du mal à suivre ; et plus on progresse, plus les mélodies lumineuses ou les voix juvéniles prennent de l'importance. Mais derrière...
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In advance of their November tour, catch up on the latest shredder from atmospheric black metal band Ghost Bath.
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Altäre der Vergänglichkeit
by Wrack
Crushing blackened doom from this German band that counterbalances blinding fury with moments of surprising, melancholy melody.
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Tokyo band contrast black metal's brutal complexity with shoegaze's abyssal grandeur, resulting in an LP that feels crushing, yet infinite.
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There is no beauty left here...
by Exiled From Light
supported by 5 fans who also own “Vestiges of Self”
De l'action de descendre sciemment vers le néant au constat simple, lancé dans un dernier soupir, comme si on était mis devant le fait accompli : There is no beauty left here... Mais contre toute attente, ce chant du cygne d'Exiled from Light n'est pas une acceptation résignée de la mort. Mort (je parle de l'artiste) est animé de l'énergie du désespoir, cette énergie qui fait accomplir des choses extraordinaires quand tout est perdu et ça rend son DSBM très beau, paradoxalement. Indispensable !!
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